Egon Kaas fait l’objet de nombreuses questions sur la toile, alors sans plus attendre, voici tout ce que vous devez savoir sur cet homme et dans les moindres détails comme nous l’avons fait pour Illan Magneron.
La vie personnel de Egon Kaas
La première chose à savoir est qu’il a joué un rôle clé dans le lancement de sa carrière en l’aidant à signer son premier contrat professionnel à l’âge de 13 ans, puisqu’il en est tout simplement le frère.
Homosexuel, comme un autre frère de Patricia Kaas, qui est d’ailleurs dévoué à cette cause, il faut savoir que sa sexualité a influencé l’engagement de sa sœur en faveur des droits LGBTQ+, notamment à travers la chanson Le refuge dédiée aux jeunes rejetés. Le refuge étant une association qui vient aux gays.
Sa fin est malheureusement sordide, puisqu’il est décédé par suicide, un drame qui a profondément marqué Patricia Kaas, comme elle l’a déjà expliqué lors de plusieurs interviews.
Nous n’en savons malheureusement pas plus sur sa vie privée, car il a choisi la discrétion, la seule chose que nous savons est qu’il fut le frère de Patricia Kaas et que son influence sur elle fut forte.
Enfin, sachez qu’il existe des homonymes, dont un mort à plus de 90 ans, il ne s’agit pas de lui, ce nom est relativement peu courant, mais il reste porté par plusieurs personnes dans l’hexagone.
L’impact sur la carrière de Patricia Kaas
Son soutien précoce a permis à Patricia de percer dans l’industrie musicale malgré les difficultés initiales (comme l’échec du single Jalouse), et c’est avec ce déclencheur qu’elle a pu avoir une si belle carrière, elle à même représentée la France à l’Eurovision en 2009, finissant à la 8ème place, un score énorme pour la France qui finie souvent en queue de peloton.
La mort de leur mère en 1989, suivie de son suicide, a contribué à la dépression de Patricia en 2013, nous ne savons pas comment il s’est suicidé ni le cheminement qui l’a conduit à ce choix.
Sa postérité
Rarement évoqué publiquement par Patricia Kaas, qui a cependant souligné l’importance de sa fratrie dans son autobiographie L’ombre de ma voix (2011), son histoire personnelle a renforcé l’engagement de sa sœur contre la stigmatisation des homosexuels, notamment en Russie où elle a refusé de censurer Le refuge sur scène.