Le domaine de l’automobile évolue beaucoup, et une question se pose donc, quelle sera la voiture du futur, et cela tombe bien, c’est ce que nous allons voir dans cet article complet et détaillé, rentrons dans le vif du sujet dès maintenant.
Qu’est-ce qui définit la voiture du futur ?
Il y a tout d’abord l’autonomie totale, en effet, le conducteur devient passager grâce à l’intelligence artificielle, c’est quelque chose qui commence déjà a apparaître, notamment en Chine.
L’électrification aussi sera de la partie, puisque le moteur thermique disparaît au profit de l’électrique, de l’hydrogène ou des carburants synthétiques, l’écologie sera au centre de la conduite de demain.
Il faut aussi prendre en compte la connectivité intégrale, la voiture communique avec les autres véhicules, les infrastructures et les services urbains en temps réel, c’est la aussi quelque chose de très important à prendre en compte.
La modularité sera aussi intégrée, c’est à dire que l’habitacle s’adaptera à différents usages (bureau, salon, espace de détente), des véhicules assez larges seront donc probablement commercialisés.
Sachez également que les voitures de demain seront aussi constituées a partir de matériaux recyclés dans un but de réduction de l’empreinte carbone.
Les caractéristiques techniques
La aussi, beaucoup de changements sont à venir, à commencer par la suppression du volant et des pédales, le véhicule se pilote seul, grâce à des capteurs et des algorithmes avancés.
La recharge sera elle ultra-rapide, avec des batteries solides et l’hydrogène qui permettent une recharge en quelques minutes, ce qui viendra pallier un problème de lenteur a ce niveau que nous connaissons actuellement.
Les écrans interactifs et holographie seront aussi intégrés, l’intérieur deviendra un espace multimédia et personnalisable, autant dire que les voyages seront beaucoup plus agréables que maintenant.
Pour ce qui est de la sécurité renforcée, elle se composera d’une détection automatique des obstacles, freinage d’urgence, surveillance continue des composants, les accidents devraient donc être grandement réduit.
Et c’est sans compter la mobilité partagée, qui donne la possibilité de transformer le véhicule en navette, taxi robotisé ou espace privé selon les besoins.
Les défis à relever
Les défis seront nombreux, à commencer par la fiabilité de l’autonomie, car garantir la sécurité en toutes circonstances reste complexe et pourra prendre de nombreuses années à voir le jour.
Et que dire des enjeux législatifs, car les réglementations doivent évoluer pour autoriser la circulation de véhicules sans conducteur, et en Europe, cela peu prendre beaucoup de temps et encore plus en France.
Enfin, il faudra aussi prendre en compte l’acceptation sociétale, puisque beaucoup ont du plaisir à conduire et la méfiance face à l’automatisation persistent beaucoup, notamment chez les anciennes générations.
Des exemples concrets de voitures du futur
Pour être plus concrets, nous allons vous donner quelques exemples, à commencer par l’Audi AI:CON : Pas de volant ni pédales, autonomie de 800 km, habitacle modulable.
Il y a aussi la Hyundai Ioniq 5, un SUV électrique autonome, déjà utilisé comme robotaxi à Las Vegas, et qui devrait rapidement être commercialisé dans d’autres zones du globe.
Quant à l’Audi AI:ME, il s’agit d’une citadine connectée, qui dispose d’un siège conducteur transformable en bureau, et enfin, la Rolls-Royce 103EX propose luxe autonome, personnalisation extrême et design avant-gardiste.
Les bénéfices attendus
Il y a tout d’abord une réduction des accidents car l’IA et les capteurs évitent les erreurs humaines, et ce n’est pas tout, car cela va aussi aller de pair avec la fluidification du trafic, les véhicules communiquent pour optimiser les déplacements.
Il y a aussi tout ce qui relève du gain de temps puisque le trajet devient un moment de détente ou de travail et vous pouvez donc en profiter pour faire d’autres choses, et c’est aussi un moyen de conduire sans polluer grâce aux motorisations zéro émission et matériaux recyclés.
Enfin, l’accessibilité sera très importante, puisque la mobilité facilitée pour les personnes âgées ou à mobilité réduite.
Les limites et interrogations
Il y a tout d’abord un coût élevé, puisque les technologies de pointe rendent ces véhicules chers à l’achat, ce qui peu léser une grande partie de la population. Il faut aussi prendre en compte le besoin de réseaux 5G, de bornes de recharge, de routes adaptées, ce qui ne sera pas une mince affaire.
La vie privée devrait quant à elle en prendre un coup avec la collecte massive de données personnelles par les véhicules connectés, et il y aura pour terminer évidemment une forte résistance au changement, car une partie de la population reste attachée à la conduite traditionnelle.